Slow Control : une fourchette intelligente qui m’aide à manger plus lentement

La qualité nutritionnelle des aliments n’est pas le seul critère à prendre en compte pour bien se nourrir. En effet, les aliments subissent d’importantes transformation avant d’offrir leurs nutriments. L’efficacité de ces processus va déterminer en grande partie la qualité d’une prise alimentaire.

Tout commence par la mastication

1ère étape du processus de digestion : la mastication. Elle mélange à la salive et réduit les aliments en miettes. Le bol alimentaire est automatiquement déchiqueté, broyé. Les enzymes contenus dans la salive débutent la dégradation chimique de l’amidon contenu dans les aliments. Cette première étape liée à la mastication est très importante. Des aliments insuffisamment broyés seront difficiles à digérer. Leurs nutriments difficilement assimilés. Il faut donc mastiquer, encore et encore.

Vous constaterez que le nombre de mastication influe sur la durée de votre repas. Cela étant, lorsque l’on mange, des échanges chimiques interviennent dans l’organisme, pour informer notre corps sur l’activité en cours. Encore ou stop ? Ce que je mange est bon pour moi ? Il est important de laisser le temps au cerveau d’envoyer et recevoir ces signaux.

La durée moyenne avant satiété est estimée à 20 minutes, soit la durée minimale requise pour votre repas.

Savoir ce que l’on mange mais aussi COMMENT on mange

Des assiettes bien composées et proportionnées sont un 1er pas vers une alimentation saine et équilibrée. Toutefois, l’alimentation en elle-même est aussi importante que la manière dont on la consomme.

En effet, tout commence par la mastication, qui détermine en grande partie l’efficacité de la suite du processus. Des études ont été publiées à ce sujet :

mangeurs lents meilleure santé
  • Etude 1 : INRA – Marie Agnès Peyron chercheuse

    La cherche Marie Agnès Peyron a demandé à ses volontaires mâcher longuement des aliments sans les avaler. La totalité des aliments mis en bouche a été recrachée et aucune calorie consommée.

    Questionné ensuite, l’ensemble des participants sont repartis repus, alors même qu’ils n’avaient pas mangés.
  • Etude 2 : Japon – 2013 – 6927 personnes

    Une étude statistique sur 6 900 personnes adultes âgées entre 40 et 74 ans a prouvé que les performances masticatoires supérieures et une alimentation lente empêchent l’apparition du diabète. L’étude a d’abord mesuré la performance masticatoire des sujets. Ensuite elle a mesuré l’occurrence ou pas de diabète de type 2

Les bénéfices scientifiquement prouvés du manger lentement

  • Manger lentement aide à moins manger.
  • Plus on mastique, moins on mange.
  • Plus on mange vite, plus on a de reflux gastrique.
  • Manger vite participe un diabète de type 2.
  • Manger vite augmente le risque de développer un foie gras.
  • Les mangeurs lents prennent peu de poids.

Vous pouvez commander votre fourchette SlowControl à partir du site www.slowcontrol.fr

Sources des études citées plus haut dans l’article http://www.slowcontrol.com/manger-lentement/

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